La promotion par "Jésus-Christ", dieu Bacchus, de la corruption financière, et donc qu'il n'a jamais existé :
- Le "Jésus-Christ" vante par la parabole du serviteur tricheur financier qu'il appelle prudent (sage), donc la corruption, la malhonnêteté financière
Il parle de la parabole du serviteur infidèle qui ne satisfait plus son maître et que ce dernier va renvoyer (livre de Luc chapitre 16 versets 1 à 13)
Ce serviteur ne veut pas cultiver le sol. Il va voir les créanciers de son maître et tant qu'il a encore une autorité de son maître il leur fait modifier la créance en la réduisant pour être accepté par l'un d'eux par la suite.
Et la conclusion du personnage Jésus-Christ : les gens des nations auraient plus de sagesse pratique que les fils de la lumière, voulant dire que ce personnage aurait fait preuve de sagesse pratique.
Incroyable mais vrai, ce dieu Bacchus fait l'apologie de la tricherie de la corruption, voyant son acte comme positif.
Et on voit aussi le total mépris de la culture du sol (l'agriculture). Il serait mieux d'être corrompu, que de faire de la bonne culture du sol. On voit donc l'insulte grave vis-à-vis du mot ange qui peut vouloir dire petit cultivateur et évangile, bon cultivateur. Et là pour avoir des bons fruits sains, au lieu d'avoir le résultat de la corruption de fruits du raisin écrasé et fermenté, corrompu par définition.
Donc c'est vraiment un exemple flagrant de l'arnaque totale de ce mythique Jésus-Christ, qui donc évidemment n'a jamais existé.
- La preuve de la non existence de Jésus-Christ par l'apologie du culte du maximum d'argent, et en plus par le risque
Il parle de la parabole des 3 personnes qui ont reçu de l'argent (des mines). (livre de Luc chapitre 19 v. 11 à 27)
Il félicite celui qui a placé ses 10 mines et celui qui a placé ses 5 mines pour avoir plus d'argent, et par contre critique celui qui a conservé sa mine sans la placer.
C'est vraiment l'attitude type d'un pro-alcool, d'un corrompu, qui place de l'argent, comme en bourse, sans savoir comment il est utilisé.
On peut placer de l'argent pour des choses vraiment corrompues, criminelles, anti-environnementales comme par exemple des compagnies financières qui plaçaient de l'argent chez des fabricants de mines antipersonnel qui étaient ensuite déposées dans différents endroits dans le monde. La compagnie d'assurance Axa avait été critiquée pour cela vers 2010. Maintenant elle ne le fait plus suite à cette dénonciation assez massive. Mais c'est pour dire combien un placement financier peut être quelque chose d'abominable. Cela peut être aussi pour une plantation de palmiers à huiles, des écoles, des vaccinations, des médicaments mauvais,... avec des compagnies qui font des bénéfices dessus, car un principe pour vendre dit-on en cours de commerce, de vente, c'est que le vice fait vendre. C'est pareil pour le financement "solidaire", la NEF ou autre, pour des écoles, des perversions bio, mais rien pour le véritablement naturel, véritablement pour l'humain et un bon climat.
Et il y a la question de ne pas savoir s'il va en avoir plus ou moins, du risque financier.
Une autre critique très sérieuse est que c'est compter sur de l'argent pour en avoir plus sans avoir à travailler.
Donc il encourage vraiment la paresse, l'argent sans avoir une activité, d'être un parasite par rapport à autrui, tel un alcoolique.
Ainsi cela prouve que ce Jésus-Christ dieu du vin est vraiment promoteur de la profonde corruption financière dans le monde, et qu'il n'a jamais existé
- Jésus-Christ accepte qu'une femme lave ses pieds avec du parfum très cher :
Il incite à la dépense et la corruption financière
Une femme, ancienne prostituée, vient vers ce personnage Jésus-Christ et verse du parfum très coûteux sur les pieds.
Voir le livre de Luc ch 7 versets 37, 38.
Elle les essuie avec ses cheveux.
La réaction des gens autour selon le récit est qu'ils sont choqués de ce gaspillage d'argent. De plus il est dit qu'on aurait pu donner l'argent aux pauvres. Là encore l'auteur prouve que le personnage Jésus est à côté de la réalité. Il ne dit rien à ce sujet. Une personne qui serait démunie n'a pas besoin d'argent mais d'aide à l'autonomie pour la culture de bon verger, afin de devenir autonome et ne pas mendier, compter sur un Dieu d'argent.
Le personnage Jésus-Christ, pour le commerce, comme le mot Christ veut dire, de crête qui veut dire au figuré vente, évidemment trouve le geste de la femme très bien.
Là c'est grave, car il incite à dépenser beaucoup d'argent, pour une action. Il pourrait y avoir des occasions de dépenser, de gaspiller son argent. L'excuse ici serait car il devrait mourir et il devrait sentir bon. Une ruse commerciale, pour faire passer la pilule de la dépense soi-disant justifiée.
Le parfum n'a pas été fait par un coup de baguette magique. Il y a eu tout un travail, une forme d'esclavage, un système pollueur aussi. A l'argent est associé un travail derrière. Plus on en dépense, plus il y a du travail derrière demandé, si on ne s'en rend pas compte. Il ne faut pas se fermer les yeux à cela. C'est une part de la compassion.
Ainsi, ce personnage Jésus-Christ est profondément dépourvu de compassion vis-à-vis de tout cela.
C'est bien une caractéristique d'un adorateur du vin, qui ne fait pas attention véritablement aux autres, à l'environnement, et accepte une dépense pour lui, et la voyant comme une flatterie.
Et aussi, un alcoolique est moins sensible à l'odorat. Ainsi, il ne comprend pas que l'humain n'est pas fait pour avoir du parfum sur lui.
Il est fait normalement pour sentir l'arôme d'un bon fruit ou l'odeur d'un corps sain de son conjoint, non dénaturée par un parfum création de l'homme, hostile à son odorat.
Ici, donc on voit un lobby de plus qui a essayé de se greffer sur les autres lobbys (du vin, du pain et du béton, de la construction).
Donc c'est bien un autre exemple de la corruption incitée par le personnage Jésus-Christ dieu Bacchus, que l'on retrouve ici, et qui prouve aussi que Jésus-Christ n'a jamais existé, que c'est une pure invention.
La grande corruption des conseils sur les relations avec autrui de Jésus-Christ (dieu du vin) prouvent qu'il n'a jamais existé
extraits de ce livre :